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Par définition, l’usurpation consiste à s’approprier illégalement une identité, un rôle ou un bien. Cela peut se manifester de plusieurs façons, mais l’objectif reste souvent le même : profiter de l’identité d’autrui pour commettre des actes frauduleux.
Ces actes peuvent être de nature commerciale, civile ou pénale. Le fraudeur cherche généralement à bénéficier d’un avantage, tel que de l’argent, des services ou des biens, sans jamais assumer la responsabilité de ses actes. L’usurpation, que ce soit d’identité ou de plaques d’immatriculation, est une forme de fraude aux conséquences graves pour les victimes.
Un autre type d’usurpation très répandu concerne les plaques d’immatriculation. Ici, le fraudeur utilise le numéro d’immatriculation d’un autre véhicule – généralement de même marque et modèle – pour créer de fausses plaques, appelées « doublettes ».
Grâce à ces fausses plaques, il peut commettre des infractions au Code de la Route sans jamais en assumer les conséquences. En effet, les amendes et contraventions sont alors envoyées au véritable titulaire de la carte grise, la victime, qui se retrouve accusée de fautes qu’elle n’a pas commises.
Qu’il s’agisse d’usurpation d’identité ou de plaques d’immatriculation, ces pratiques sont des délits au regard de la loi. Dans les deux cas, il est impératif de réagir rapidement pour limiter les dégâts. La première étape consiste à déposer plainte auprès des autorités compétentes.
Si vous êtes victime d’une usurpation d’identité, voici les démarches à suivre :
Si vous recevez des contraventions pour des infractions que vous n’avez pas commises, vous pourriez être victime d’une usurpation de plaques d’immatriculation. Dans ce cas, voici les étapes à suivre :